Rome et l’Italie du Sud (du 18 au 25 mars 2018)

Voir ici les photos de Dominique L.  concernant Rome et l’Italie du Sud.
Voir ici le film de Dominique L.

Petit matin, il fait encore nuit, Elodie et Didier nous accueillent chaleureusement, nous sommes presque tous réunis au fond du bus et le voyage peut commencer ! Direction la Côte d’Azur, la Ligurie et la Toscane. Quelques arrêts nous permettent de dégourdir les jambes, de s’imprégner de la vie quotidienne des italiens et des paysages sublimes de la côte méditerranéenne. Nous arrivons vers 18 h à Chiancano Terme pour s’installer à l’hôtel, prendre un premier repas de pates italiennes. La nuit est confortable et chacun rêve au lendemain….

PHOTOS : LE PREMIER SOIR.

Lever à 7 h, départ 8 h 20 pour rejoindre Rome. Un accident sur l’autoroute nous a bloqué 2 h. Nous ne les avons pas vues passer : plaisanteries, franche rigolade, chansons étaient au programme. Nous arrivons à Rome en début d’après-midi et après un repas revigorant nous rejoignons Ivano pour une visite guidée Baroque dans la ville. Départ de place d’Espagne sous un beau soleil. L’église de la Trinité-des-Monts, nous dit Ivano, est l’une des églises nationales françaises de Rome, située au sommet de l’escalier elle possède une façade mondialement connue avec ses deux clochers symétriques qui datent de 1495. Devant elle se dresse un obélisque égyptien qui provient des jardins de Salluste et comporte en fait des pseudo-hiéroglyphes gravés par les artisans romains. Derrière l’église se trouve la Villa Medici. Nous sommes plutôt intrigués par la fontaine Barcaccia au pied de l’escalier. C’est un chef-d’œuvre de sculpture baroque italienne de Pietro et Gian Lorenzo Bernini. Cette sculpture représente une barque qui prend l’eau en souvenir de la grande inondation de Rome de 1598. L’eau est claire, turquoise, elle vient de Florence par un des aqueducs qui aboutit à Rome et les soleils et les abeilles des extrémités représentent le blason de la puissante famille florentine du pape Urbain VIII : les Barberini. C’est parce que l’Espagne a pris possession de cette place en 1620 qu’elle porte son nom. De grands palais sont construits autour, elle est en forme de papillon et au centre de la seconde « aile » on y trouve la colonne antique de l’Immaculée Conception en face de l’ambassade espagnole, et pas loin de là nous trouvons  le siège international de l’Ordre souverain militaire des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, puis de Rhodes et de Malte ! Ivano est passionnant, il raconte bien et nos écouteurs à l’oreille sont bien confortables pour profiter au maximum de ses commentaires ! Nous déambulons dans la Via Sistina, la place Berberini, la via Tritone pour arriver à la Fontaine de Trévi. La plus grande et la plus célèbre fontaine de Rome ! Elle célèbre l’aqueduc de l’Aquoi Virgo qui avait été construit en 19 Av. J.-C. mais la fontaine date de 1730. Ce projet a été choisi en raison de son coût peu élevé et elle a été financée par un Loto ! Trois voies convergeant sur la fontaine lui on donné son nom achevée par Guiseppe Pannini (l’architecte… Pas le sandwich !). Qui jette la pièce de monnaie ? Attention il faut la lancer par le bras droit en tournant le dos à la fontaine pour revenir à Rome un jour retrouver sa pièce. Neptune, le dieu Océan, sur son char tiré par deux chevaux marins et deux tritons, inondé de soleil à l’heure de notre visite, semble bien heureux de cette coutume qui attire de nombreux visiteurs ! Ivano nous conduit au Panthéon et nous explique qu’à l’origine c’était un édifice religieux bâti sur l’ordre d’Agrippa au 1er siècle av. J-C. et reconstruit au début du IIème siècle sous Hadrien suite à un incendie. C’était un temple dédié à toutes les divinités de la religion  antique. Il a été converti en église et du fait de son utilisation ininterrompue de sa construction à nos jours c’est le plus grand monument romain antique pratiquement intact. Ivano nous explique les techniques et le savoir-faire des bâtisseurs romains : la pierre, la brique, le mortier, le béton (et oui !… le béton de chaux). L’esthétique est fabuleux avec un décor de fenêtres grillagées, de faux pilastres de porphyres, de décorations de marbre…  Ce qui nous interpelle le plus c’est l’oculus de la coupole qui n’est pas fermé. C’est lui qui est l’unique source de lumière directe qui donne cette magie du lieu… On continue notre visite de la ville : magnifiques hôtels particuliers, palais et on arrive à la Piazza Navona. C’est une grande place construite sur les ruines d’un stade antique comme l’indique son nom. En effet Ivano nous précise que « in agones » signifiant « lieu ou se déroulent les jeux » s’est transformé en nagone puis navona  qui évoque aussi en italien une « grosse nef » qui fait référence aussi à l’église Ste-Agnès en Agone. C’est la plus belle place de Rome avec ses trois fontaines. Au centre la fontaine des Quatre-Fleuves construite par le Bernin symbolise les quatre parties du monde : le Danube pour l’Europe, le Nil pour l’Afrique, le Gange pour l’Asie et le Rio de la Plata pour l’Amérique entourent l’obélisque surmontée d’une colombe.  Pourquoi le bras de la statue du Rio de la Plata est tendu ? Il a peur d’un effondrement de l’Eglise Ste-Agnès en Agone. Pourquoi la statue du Nil couvre son visage ? Pour ne pas la voir. En fait le voile signifie qu’on ne connaît pas encore les sources du Nil…. Ah Ivano !… on aime tant quand tu racontes ! On se quitte pourtant sur la Piazza Navonne pour un temps libre consacré pour certains à prendre des photos et admirer les moindres recoins des deux autres fontaines : celle du Maure et celle de Neptune. Pour d’autres c’est  plutôt un chocolat italien à une terrasse chauffée ou bien c’est arpenter le quartier pour profiter au maximum de cette belle ville de Rome ! Didier nous récupère pas très loin pour nous conduire à l’Hôtel. En fait on aurait pu y retourner à pied ! Après le repas on fait un petit tour dans le quartier : certains s’en vont vers le Colisée, d’autres au contraire vont dans l’autre sens faire le tour de l’imposante Santa Maria Maggiore qui est l’une des quatre basiliques majeures et le plus grand monument et la plus grande église romaine consacrée à la Vierge Marie. Elle est propriété du  Vatican.

PHOTOS DE NOTRE VISITE «ROME BAROQUE »

On s’endort, croyez-nous, les yeux pleins de ces merveilles à moins que… certaines ne rêvent de notre bel Ivano !

Ce matin, lever à 7 h, rdv à 08h30 pour se diriger, à pied, vers le Colisée où nous attends Ivano et, avec lui, nous pouvons rêver aux munera (un munus) autrement dit des combats de gladiateurs et autres spectacles tout aussi populaires : les venationes qui faisaient appel à une grande variété de bêtes sauvages importées d’Afrique, les  sylvae ou récréations champêtres… Mais aussi des condamnations à mort par des bêtes féroces. Mais toutes ces histoires nous sont familières car à Nîmes ou Arles il y a aussi des amphithéâtres, même si aujourd’hui on les appelle « arènes ». Le Colisée porte le nom de colosseum par référence à une statue colossale de Néron érigée à proximité : elle ornait l’entrée de la Domus auréa, palais impérial de Néron. Cette statue a fini par être détruite pour la réutilisation de ses éléments en bronze…. Que d’histoires ! Arriverons-nous à suivre ? Oui, Ivano est captivant et ses explications sont simples, bien imagées.

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On continue ainsi dans le forum où l’on suit la Voie Sacrée. L’arc de Titus, le Temple d’Antonin, des Dioscures, la basilique Julia, l’arc de Septime Sévère, les Temples des Vestales, de Saturne, Vespasien, de la Concorde et tant d’autres ruines, dont certaines sont reconverties en églises nous sont racontées avant de rejoindre le Capitole. Situé sur l’une des sept collines de Rome il est le centre religieux de  la ville avec le temple consacré à Jupiter, Junon et Minerve. Ivano nous décrit la place conçue en grande partie par Michel-Ange. On descend l’escalier majestueux et sur notre droite l’immense monument blanc immaculé dédié à Victor-Emmanuel II premier roi de l’Italie unifiée. Ivano nous interpelle pour voir la tombe du Soldat inconnu sur laquelle brûle la flamme éternelle… Tiens il fait quelques gouttes. Pas de souci, Didier est là pour nous récupérer et nous amener dans notre restaurant.

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Il pleut toujours lorsque nous sortons de table mais… nous n’allons pas loin : l’entrée des musées du Vatican est tout à côté.

Tout d’abord Ivano nous décrit la Chapelle Sixtine qui doit sa célébrité à son exceptionnelle décoration peinte.  « Il n’y a pas que Michelange qui les a réalisées : Le Pérugin, Sandro Botticelli, Domenico Ghirlandaio, Cosimo Rosselli et Pinturicchio y ont effectué les peintures de ses murs…. On pense que ces scènes ont été commandées par Sixte IV, dans un but politique précis : démontrer la primauté de la papauté et son indépendance face aux monarques de la chrétienté. Ces murs sont divisés horizontalement en trois bandes séparées par des entablements, et verticalement par des lésènes. Le long de la bande inférieure se déploie une rangée de damas peints en trompe-l’œil, ornés de feuilles de chêne et de glands….  La voûte, commandée par Jules II est conçue en neuf scènes centrales représentant des épisodes de la Genèse… » et ainsi de suite, Ivano nous donne toutes les clés devant une borne didactique réservée aux conférenciers du Vatican dont il fait partie. Nous traversons un des musées du Vatican aux décorations impressionnantes. Les cartes de l’époque nous interpellent. Pourquoi la Corse est-elle à l’envers ? Arrivés à la chapelle on n’a plus qu’à ouvrir grand nos yeux et nous remémorer les « significations de lecture » acquis tout à l’heure.

VOIR ICI LES PHOTOS DU MUSEE DU VATICAN ET DE LA CHAPELLE SIXTINE.

Après avoir savouré les œuvres de la Sixtine nous passons directement à  la Basilique Saint-Pierre. Comme chacun sait, elle est construite sur la tombe du l’apôtre Pierre. Michelozzo, Brunelleschi, Bramante, da Sangallo, Fra Giaconde, Raphaël  et Peruzzi, ont participé à la construction de cet édifice hors du commun, mais c’est Michelange et Sangallo le Jeune qui ont finalement construit l’édifice tel qu’on peut le voir aujourd’hui… Certains versent une larme devant la Piéta de Michelange…  On est impressionné par l’immense baldaquin de Bernini, des tableaux qui sont en fait constitué de mosaïques, des tombeaux grandioses et aussi des tombes de papes sanctifiés ! Ivano nous dit, nous raconte et on reste ainsi jusqu’à la dernière limite de l’ouverture avant de découvrir la place Saint-Pierre, malheureusement sous la pluie ! Nous nous abritons sous les colonnes pour les explications d’Ivano qui, encore et toujours, sont une mine d’or pour notre culture.

VOIR ICI LES PHOTOS DE LA BASILIQUE SAINT PIERRE DE ROME.

Retour à l’Hôtel, mais avant de savourer un bon repas, nous allons visiter l’église St Pierre aux liens. Cette église est intéressante par le fait qu’elle contient les chaînes qui ont servi à enchaîner St Pierre lors de son emprisonnement à Jérusalem mais… surtout elle contient le Moïse de Michelange. Ce Moïse était prévu à l’origine pour être un élément du gigantesque mausolée du pape Jules II pour la basilique St Pierre. Michelange a mis 40 ans pour construire ce tombeau qui devait comporter 47 statues !

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Un bon repas, puis… Didier nous entraîne dans un tour By Night de Rome commenté par Ivano. Tout Rome est à notre portée. Si il y en a quelques uns qui piquent du nez… D’autres sont impressionnés par le Colisée éclairé, les immenses thermes de Caracalla, le Théâtre de Marcellus, la place St Pierre et la Basilique de nuit, les fontaines, les quartiers chics… Et tellement d’autres merveilles !

Ce matin à 7h45 nous sommes tous prêts pour partir à Tivoli. Au programme la visite de la Villa d’Este. Ce nom nous dit quelque chose… Ah oui ! Lors de sa conférence sur les Borgia, Michèle nous avait expliqué qu’Hippolyte d’Este, nommé gouverneur de Tivoli par le pape Jules II et qui a fait édifier cette fantastique demeure, était le fils de Lucrèce Borgia. Elle nous en avait aussi parlé lors de sa conférence sur les « Grotesque » il y a quelques années !… Même si l’on a oublié tout ça, on se régale dans cette visite, toujours en compagnie d’Ivano qui nous rappelle tout ceci et… tellement d’autres histoires. Nous sommes enchantés par ce palais somptueux et surtout le jardin de fontaines exceptionnel. Cette villa est inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco. Les viviers  et la fontaine de l’orgue, celle de l’ovale, l’allée aux cent fontaines, entre autres, sont des attractions exceptionnelles ! Sans oublier les parfums des jacinthes !

VOIR ICI LES PHOTOS DE LA VILLA D’ESTE – TIVOLI.

On dit au-revoir à Ivano avant de nous retrouver au restaurant puis c’est la route pour rejoindre  Ste Agathe et notre bel Hôtel sur la baie de Naples.

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Lever tôt, 6h mais déception car le temps tristounet empêcheles bateaux de naviguer pour rejoindre Capri. Un peu d’attente car il faut réorganiser la journée. Enfin notre guide arrive accompagné d’un bus beaucoup plus petit. En effet la route de la côte Almafitaine est connue pour son relief très accidenté… mais aussi pour sa beauté, ses villages pittoresques et la diversité de ses paysages ! Nous écoutons notre guide qui ne manque pas d’humour, mais surtout écarquillons grands les yeux et aussi les oreilles pour essayer d’entendre le chant des sirènes à moins que nous soyons effrayés à l’idée d’une attaque des habitants de la Gorge de la Fureur…  On rêve en noir et blanc avec les films de Sophia Loren, Gina Lollobrigida où à d’autres seigneurs, comme celui de la Danse, Rudolf Noureev ou Jackie Kennedy !

VOIR ICI LES PHOTOS DE LA COTE ALMAFITAINE.

Nous voici arrivé à Amalfi. Il fait froid mais à l’intérieur nous sommes au cloître du Paradis et le charme des arcs croisés soutenus par des petites colonnes en style oriental. Le musée est visité avant de descendre à la crypte qui comprend les reliques de Saint-André et l’histoire époustouflante de la fiole en cristal et du liquide qui suinte du sépulcre du Saint… En sortant on peut admirer le portail et le campanile aux fenêtres géminées ou trilobées et son couronnement arabisant recouvert de faïence jaune et vert. On se réchauffe tout à fait devant notre repas de poisson (les pates aussi !) et le gâteau au citron.

VOIR ICI LES PHOTOS DE LA CATHEDRALE D’AMALFI.

Nous voici à reprendre la route escarpée pour remonter sur une des plus belle route panoramique d’Italie. On y trouve la neige vers Cesarano et… la pluie en arrivant à Pompéi. On sort les parapluies et nous voici dans ce qui a été enfoui sous plusieurs mètres de sédiments volcaniques, le site archéologique de Pompéi. Un enchantement de visite où l’on peut se rendre compte de l’économie florissante par les somptueuses demeures et la qualité de vie des différentes classes sociales. C’est surtout les commerçants et les entrepreneurs qui avaient fait sa fortune. On peut imaginer la vie intense dans ces rues pavées, adaptées pour les chars mais aussi pour les piétons avec leurs passages cloutés ! On retourne à l’Hôtel enchantés de notre journée !

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE VISITE A POMPEI.

Encore un lever tôt mais ce matin le temps semble plus clément et… bonne nouvelle on nous confirme que les navettes pour Capri sont possibles. Nous embarquons donc pour seulement 20 mn de bateau et notre guide Tonino a de l’énergie : il a vite fait de nous trouver des taxibus pour monter à Anacapri. Le trajet croyez-nous vaut le détour. Il nous raconte l’île de l’antiquité et de la villa d’Auguste et surtout de son successeur Tibère. Il faut attendre l’époque de Joseph Bonaparte pour retrouver un semblant d’histoire  avant que l’île ne devienne une destination de villégiature pour de nombreuses personnalités et, désolés d’en décevoir certain Hervé Villard n’a pas connu d’amour triste sur l’île. Tonino nous entraîne dans la fameuse villa San Michele célébrée dans le best-seller d’Axel Munthe. Nous tombons amoureux de ses jardins et des vues panoramiques qu’ils offrent sur Capri et sur le Vésuve qui petit à petit perd son manteau de neige. Une dégustation de lioncello nous distrait un instant de ces magnifiques paysages.

VOIR ICI LES PHOTOS D’ANACAPRI et de  LA VISITE DE LA VILLA SAN MICHELE.

Le repas est le bienvenu, mais nous repartons très vite pour prendre à nouveau les taxibus qui nous amènent à Capri avec à nouveau quelques sensations « fortes » ! On suit Tonino mais on remarque vite que les boutiques sont belles, avenantes et surtout pour des touristes nantis mais on aime bien la petite boutique des cloches. Une légende raconte qu’un petit berger de Capri qui n’avait qu’une petite cabane à partager avec sa maman et une petite brebis. Un soir alors qu’il cueillait des fleurs, il se retourne et ne voit plus sa brebis et l’angoisse le prend : et s’il ne voyait plus sa maman. Il entend alors une cloche et croyant que c’était celle de sa brebis il se lance dans la direction du tintement jusqu’au moment où il arrive au bord d’un ravin. Une lumière arrête l’enfant et Saint-Michel lui apparaît  sur un cheval blanc et dans un éclat d’or. « Mon enfant » lui dit le Saint en enlevant sa petite cloche qu’il avait autour du cou, « prends-là et suis toujours le son qu’elle émet, elle te sauvera de tout danger ». Le petit berger ramène sa cloche à sa maman enveloppée d’un cadre vert. Depuis ce jour-là sa vie a été pleine de bonté et de bonheur et tout désir terrestre lui fut satisfait… Qui a acheté une petite cloche ? On continue dans les rues étroites pour aboutir à un jardin puis on fait demi-tour pour se promener à sa guise avant de reprendre le taxibus.

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Dans la Marina on a le choix : temps libre pour des courses ou une balade en bateau pour faire le tour de l’île.

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Les uns et les autres passent un bon moment et on a le sentiment d’une journée bien remplie lorsqu’on reprend le bateau puis le bus pour rentrer à Ste Agathe. Pour certains c’est un peu de repos mais d’autres aiment encore se balader… Et pourquoi pas Ste Agaghe la nuit ?

Encore  (et toujours) un lever aux aurores. Cette fois-ci on charge les bagages dans la soute du bus et nous voici à prendre la direction de Naples. Lorsqu’on y arrive un soleil éclatant nous accueille et aussi notre guide que l’on surnommera « Mitraillette ». Un tour en bus dans la ville avec les belles vues sur la baie et aussi sur l’île de Procida qui serait le berceau de notre civilisation… ou peut-être aussi l’île des fondateurs de la mafia sicilienne ?! « Mitraillette » parle très vite et il ne laisse pas notre cerveau s’imprégner de toutes les informations qu’il nous donne. On reconnaît toutefois le château de l’œuf et sa légende, le château neuf mais on est impressionné par la grande place du palais royal, de la galerie Umberto 1er et de toutes ces maisons hétéroclites qui donnent un charme fou à la ville ! On quitte Naples en espérant y revenir un jour et l’on continue notre route… On dort  à Montecatini Terme pour repartir le lendemain et arriver en fin de journée à Beaucaire, tous très heureux de ce beau voyage.

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