La tour de Guet.

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Temps tristounet avec des entrées maritimes et un vent du sud qui décoiffe.
Nous partons du Restaurant Baumanières (non, Philippe n’a pas offert le repas !) et nous montons par le joli sentier où se cache la Cabro d’Or chère à nos Alpilles.
Rejoindre la route pour continuer la montée puis prendre la large piste qui mène à la Table d’Orientation.
Mais c’est sans compter les variantes imposées pour découvrir d’autres sentiers qui nous font prendre la piste qui descend puis qui remonte rudement vers la piste du GR6.
En cette fin du mois d’Octobre il y a encore plein de fleurs : les frêles odontites jaunes, les buplèvres, les vergerettes, les pavots à crochets et les asters (ou vendangeuses) qui tapissent de larges étendues !
Nous arrivons tout tranquillement à la Tour de Guet. La vue y’est à 360° et même si le soleil joue à cache-cache le panorama vaut vraiment  la peine.
Redescendus on emprunte toujours la piste des crêtes, mais dans l’autre sens. Beaucoup de monde aujourd’hui : des familles qui se promènent, des vététistes, d’autres randonneurs, beaucoup de solitaires !
Arrivés à la citerne, on a pitié de Philippe le seul garçon, on prend donc la piste du plateau de Baumayrane. Là aussi de beaux panoramas sur la plaine des Baux, jusqu’à la mer dirons-nous.  Au croisement nous revenons tranquillement dans le val d’Enfer et retrouver le minibus.
Malgré le vent, le manque de soleil, la balade valait bien le coup car les paysages dans toutes ces pistes en crêtes dans nos chères Alpilles, étaient bien intéressants. On s’est régalé du premier au dernier pas que nous avons effectué. 
Cotation : DJB2 – 9.5 km – 461 m de dénivelé – 5 randonneurs (Philippe, Michèle, Jacqueline, Cécile).