Voir ici les photos de Marie-Jeanne concernant notre randonnée à Générac.
Voir ici les photos de Françoise.
Depuis le parking qui se trouve à proximité du château, vingt-huit randonneurs se dirigent, en direction du « fossé de Fabres », puis les « Puechs du moulin à vent », ou seul le vent était bien présent, mais le moulin absent sur le Puech.
« Puech en occitan, s’orthographie Puèg, et le terme est dérivé du Latin Pèd, qui signifie podium, donc petite hauteur, Mont, Colline. »
Un peu de marche facile, pour se retrouver au bas du « Puech de la savatte ». Mais sur place, le sentier étant fermé : situation imprévisible, mais pas insoluble, pour la poursuite de notre circuit.
Après un petit détour, nous longeons le Valat de sainte Colombe, pour ensuite grimper, par un sentier étroit et déformé, près du « Mas de Reculan ». Le lieu est adapté, et nous prenons notre repas.
Ce paysage des costières, avec ses sept collines, qui entourent Générac, est très appréciable et offre de différents points de vue, sur le plateau.
Générac a été durant des siècles, un important centre de tonnellerie, (fabrication de tonneaux et récipients) en bois de châtaignier, les capacités allaient jusqu’à 500 litres.
L’activité était florissante, mais elle a malheureusement, peu à peu subit un ralentissement, pour finalement péricliter avec l’arrivé des cuves en matériaux inoxydables, et autres matières plastiques.
Notre restauration terminée, nous repartons avec plus d’énergie, vers« Aigues vives les captives », nous passons près de « Puech Lachet », le vent froid dissuadant de grimper au sommet.
Donc nous nous dirigeons, vers Molières, ensuite le centre de Générac, afin de retrouver le château et le parking.
« Le château de Générac date du XIe siècle et aurait appartenu aux comtes de Toulouse, à l’ordre du Temple de Guillaume de Nogaret. Il aurait été largement réaménagé par les hospitaliers du grand prieuré de Saint-Gilles de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XVIe siècle ».
Guy
Cotation : JB2 – 12.8 km, dénivelé de 170 m.