La côte Bleue.

Voir ici les photos de notre randonnée sur la côte Bleue.

Voir ici les photos de Françoise R.

Voir ici les photos d’Albert.

21 randonneurs, mais comme c’est l’habitude maintenant, le groupe se sépare en deux, d’un côté 5 garçons et 3 filles et de l’autre 10 filles et 3 garçons qui longent ensemble la voie ferrée, puis prennent la petite route et le petit pont pour s’élever jusqu’à un col où de très belles vues sur Marseille et sa rade valent un arrêt. Le premier groupe prend la descente les premiers et on atteint tous le vallon du Coucourdier.
A ce niveau c’est normal que le 2ème groupe n’ait plus de nouvelles du 1er ! Alors celui-ci continue sur la droite pour monter, monter… Tiens d’où viennent ces voix ? Mais ce groupe nous le connaissons bien ! Laissons-les nous doubler SVP !
On les rattrape à la batterie de Figuerolles pour une visite commune du site. Plusieurs « casemates »  ou baraques comme vous préférez. Des postes de gué. Est-ce l’emplacement d’un canon ici ? En effet nous sommes sur une construction militaire des années 1880/90. La vue de la terrasse est magnifique !
Le 1er groupe reprend assez vite le chemin, le 2ème traîne. Mais quel est donc ce tunnel ? Tiens Marité joue une fois de plus au chimpanzé.
Les deux groupes se suivent… On joue à cache-cache  sur un sentier qui nous guide jusqu’au port de la Vesse. Quelques murs de soutènement, circulation parfois en balcon avec des vues superbes sur la mer et les falaises. Aïe ! Attention, le vent nous bouscule !
On continue notre chemin, on traverse une passerelle puis on passe au milieu des maisons : direction plein Sud jusqu’à la mer.
On s’arrête au petit port de la Vesse, on se cale contre un mur pour se protéger du vent, les yeux rivés sur les vagues et les bateaux… Ah qu’on est bien dans notre Paradis. Mme Gâteau, nous a préparé un délicieux gâteau aux noisettes, quelques olives croquantes, le soleil, la mer…. Le bonheur parfait !
Il faut se sortir de là quand même, on prévoit de poursuivre sur le sentier des douaniers, on prend donc le sentier qui s’élève et qui passe sous le viaduc. Malheureusement c’est la fin de notre aventure : un arrêté préfectoral interdit le passage.
Demi-tour, que fait-on ? Dans un premier temps on laisse des messages au 1er groupe (tiens on les avait oublié ! Et eux, croyez-vous qu’ils pensent à nous ?). On n’a aucune nouvelle depuis pas mal de temps. C’est normal ils doivent continuer sur Niolon et le vallon de l’Everine avant de revenir  à ce niveau.
Ensuite ? Nous remontons tranquillement le vallon des Fontêtes, avec courage car il y a une côte raide… très raide ! Ah oui, tiens elle est derrière nous on l’a grimpée sans souci mais un peu plus loin ce sont les casquettes qui se sont envolées…
On continue jusqu’à reprendre notre chemin du départ, il faut encore monter, descendre, remonter, redescendre mais… Le spectacle est encore plus beau !
Pas de nouvelles du 1er groupe, ils se sont peut-être perdus. En tout cas ce soir on rentrera bien avant eux !

Les impressions du 2ème groupe : la randonnée était longue et sportive. Il est tard lorsqu’ils arrivent à Beaucaire… Mais très heureux de ces fantastiques paysages.
Cotation : JB2 – 12 km – 600 m dénivelé ou JC3 – 21 km et 1200 m dénivelé – 21 randonneurs.