Voir ici les photos de notre goûter de Noêl
Notre salle est dotée de belles décorations, les assiettes sont bien copieuses, le champagne coule à flot, les sourires éclairent tous les visages, l’ambiance est festive !…
C’est notre goûter de Noël !
Malgré une vague de « Covid » qui frappe une bonne partie de nos adhérents, une quarantaine de personnes passent un bien bel après-midi en compagnie du groupe « Les Branchés » qui met « le feu à la salle » avec ses chansons… On a aussi bien « emballé » avec quelques slows langoureux.
La compagnie est chaleureuse, bon enfant… tellement que certains n’hésitent pas à prendre le micro.
Notre animatrice préférée bien sûr, Christine, pousse la chansonnette, mais nous rions aux éclats avec le « béret » de Michelle C. et les chansons d’Anne-Marie nous mettent dans l’atmosphère affectueuse de l’esprit de Noël… Nous avons aussi le béguin pour la chanson de Pierrette : Le Rhône qui a épousé la Provence !
C’est vrai que les bouteilles se vident vite ! C’est vrai que les assiettes sont délicieuses !… c’est vrai que le temps passe à toute vitesse…
Mais rien n’est plus merveilleux que de nous retrouver dans cette convivialité qui nous est chère ! On est tellement bien ensemble !
Merci à Brigitte pour la déco et le travail réalisé pour cette belle salle…à Geneviève pour les rubans et les petits objets, à Eliane qui se faisait une joie de voir « sa salle » en habit de fête !
Une pensée à tous ceux et celles qui n’ont pas pu nous rejoindre….
Adishatz, qu’ei a partir !
Tornarei , un beth matin , amic !
(Au revoir, je dois partir – Je reviendrai par un beau matin, l’ami !)
Adishatz, les amis, Adishatz, on se retrouve tous « à l’an qué ven ! »….
Et oui… n’oublions pas : la galette des rois, les crêpes. C’est pour bientôt !
Ici les paroles de la chanson interprétée par Michelle C. (pour ceux qui sont de la belle région de la Gascogne !)
Vous pouvez l’écouter ici (Mais André Dassary n’a pas le talent de Michelle !).
Paroles de la chanson Le béret
Chaque pays possède sa coiffure :
Le Marocain porte un fez rigolo,
Le Mexicain ne manque pas d’allure
En arborant son vaste sombrero !
Le bon bourgeois, ce n’est pas un reproche,
Met un melon, tant mieux si ça lui plaît,
Moi, mon chapeau, je le mets dans ma poche,
Je suis Gascon et porte le béret.
Notre béret, c’est toute la Gascogne,
Et per canta noste bet céu de Pau
Nos montagnards aux jambes de cigogne,
Avec orgueil le portent coum’ataou !
Et avec ça, c’est tellement pratique,
Quand m’sieur l’curé sur la route apparaît
Où le paysan dépose-t-il sa chique ?
Hé, Diou bibant, mais c’est dans son béret !
Le Béarnais aime le mettre en pointe,
Le Basque, lui, le met sur l’occiput,
Et le Landais, sans reproche et sans crainte,
Le pose ainsi quand il veut dire zut !
C’est tout petit mais c’est une merveille
Pour réfléchir, c’est ainsi qu’on le met,
Et pour crâner, on le met sur l’oreille
Quel orateur, ce cochon de béret !
Quand grand-papa travaille dans la vigne,
Et qu’à l’église on sonne tant et plus,
Pour la prière, il l’enlève et se signe,
Plus de béret quand sonne l’angélus.
Les Parisiens dont l’enfant n’est pas sage,
Pour le fesser prennent un martinet,
Un martinet, c’est un truc de sauvage,
Nous, on lui flanque un bon coup de béret !
Lorsqu’à Bayonne, on joue à la pelote,
C’est son béret que l’on jette au vainqueur,
Et ce béret, c’est pas de la gnognote
Puisque dedans, on a mis tout son cœur
Et le dimanche, il est bon qu’on le sache
À la plazza, ça fait beaucoup d’effet,
Nos jeunes gens vont exciter la vache,
Pour la sauter pieds joints dans le béret,
Notre béret a fait le tour du monde,
Tous les champions qui battent un record
L’ont adopté sur la terre et sur l’onde,
Car un béret, ça tient, coquin de sort !
Malgré le vent et malgré le cyclone,
Il est solide et peut-être – qui sait ?
Tous les monarques auraient gardé leur trône
S’ils avaient eu pour couronne un béret.
Quand le conscrit quitte sa fiancée
C’est le béret qui rythme les adieux,
Quand il est loin, seul avec sa pensée,
C’est au béret qu’il parle… avec les yeux.
Je ne veux pas vous raconter la guerre,
Quelque grincheux me le reprocherait
Mais vous savez tout ce qu’ils ont pu faire
Les petits gars qui portaient le béret !