A la découverte du Cap Corse

Voir ici les photos du 1er jour : Embarquement à Toulon
Voir ici les photos du 2ème jour : Bastia – Macinaggio via Erbalunga
Voir ici les photos du 3ème jour : Randonnée Macinaggio-Barcaggio
Voir ici les photos du 4ème jour : Macinaggio-Saint-Florent via Centuri
Voir ici les photos du 5ème jour : Saint-Florent – Randonnée avec Stéphane
Voir ici les photos du 6ème jour : Saint Florent – Randonnée les plages des Agriates (bateau)
Voir ici les photos d’une soirée à St Florent.
Voir ici les photos du 7ème jour : Saint-Florant-Bastia via Patrimonio
Pas de photos du 8ème jour !

Bien à l’heure pour l’embarquement, c’est une troupe bien joyeuse qui monte sur le bateau qui nous amènera durant la nuit à Bastia…
Nous laissons Toulon qui s’éloigne derrière nous avant de prendre un repas : c’est vraiment agréable de se retrouver dans un joli cadre avec des amis !
La nuit se passe très bien pour certains, même si d’autres sont un peu angoissés pour fermer l’œil… à moins que ce ne soit des ronflements qui dérangent. Qui a fermé sa bouche avec du scotch ?
Voir ici les photos du 1er jour : Embarquement à Toulon

Au petit matin les sourires sont de retour et l’on prend la fameuse route qui fait le tour du Cap Corse. En s’éloignant de Bastia on trouve que les habitations se dispersent très vite.
On s’arrête à Erbalunga pour prendre un café et aussi des croissants. Nous voici dans l’ambiance Corse : nous discutons avec les habitués du café en toute amitié.
Erbalunga est une petite marine de la commune de Brando et elle aligne ses vieilles maisons à fleur d’eau sur une pointe de schiste vert terminée par une ancienne tour génoise à demi ruinée mais qui garde fière allure. Elle doit sa destruction à la flotte française du 16e siècle. On peut lire  sur une plaque apposée sur la face nord la date de 1561 : sûrement la date de sa construction. On goûte le plaisir de flâner autour du Port (bien qu’il y ait des travaux) qui abrite quelques bateaux de couleurs vives, de l’église St-Erasme, de la plage, dans les ruelles en escalier ombragées de platanes, de lauriers et de palmiers ainsi que sur les placettes fleuries. Qui a vu des dauphins ?
On décide l’aller voir le pont génois indiqué sur notre carte. On prend donc le chemin du théâtre de verdure qui monte vers un petit bosquet que nous longeons après quelques marches d’escaliers pour rejoindre le chemin du Mausoléo à la recherche de celui-ci. Nous y trouvons la charmante église de Madona di u Carmine, le Mausoléo et nous continuons jusqu’à Santa Maria di e Nevi mitoyenne de l’imposante église paroissiale Santa Maria Assutan.
En montant… des cris ! Qui a subit une attaque de… chat !
La chapelle Notre-Dame-des Neiges est fermée, il aurait fallu demander la clé à la Mairie de Brando pour  visiter ce sanctuaire du 11e siècle que nos amis du café nous avaient conseillé de visiter. Elle possède en effet, les plus anciennes fresques connues dans l’île. Réalisées par un artiste italien des fragments couvrent le mur Sud et figurent des personnages d’une étonnante naïveté d’après  nos amis du café !

Nous avons une belle vue sur la mer et l’île de Capraja et de l’autre côté, du castello qui sont des ruines  d’un château avec un donjon du 13e siècle.
On redescend pour reprendre la direction de notre pont génois. C’est un joli sentier, parsemé de cyclamens  et qui borde une rivière, qui nous y amène.
La découverte du pont réjouit tout le monde et on aurait aimé y pique-niquer… l’endroit est bucolique… mais il n’est pas encore midi et, même si on s’est levé tôt, on est obligé de revenir vers le village pour nous approvisionner.
Le repas se fait au soleil, au pied de la tour génoise pour certains, pour d’autres sur des marches d’escaliers à l’abri du vent, mais on se retrouve tous à nouveau au café à discuter et rigoler avec nos nouveaux amis !
Nous prenons maintenant la route pour découvrir le Cap Corse Est, moins élevée que sa rivale mais notre route suit la mer en corniche et ici et là nous sommes attirés par de belles plages ou des alluvions arrachées à la montagne  par les torrents. On s’arrête dans la petite marine de Sisco où on passe un bon moment à faire des ricochets sur la plage.
La route est sinueuse mais tellement belle… Les chauffeurs doivent être bien attentifs, même si par moments il y  a les passagers qui piquent du nez.  Qui a vu la belle tour de l’Osse ? La tour de la Marine de Meria ?
Nous arrivons assez tôt à Macinaggio. On y déguste une glace pour nous requinquer avant de nous installer dans notre Hôtel.
Le soir une belle surprise nous attend au restaurant avec un menu côté mer… la gestion de la journée du lendemain est effectuée : tout le monde pourra dormir du sommeil du juste.
Voir ici les photos du 2ème jour : Bastia – Macinaggio via Erbalunga

Nous partons tous ensemble de l’hôtel. Nous sommes au Cap Corse qui s’ordonne autour d’une arête centrale de plus de 1000 m d’altitude avec son point culminant, le Monte  Stello à 1307 m qui s’étire  vers l’ilot de la Giraglia, ultime vigie de la Corse.
La position du Cap Cose oblige les habitants à vivre davantage en relation avec la mer et donc, de tous temps, ont été de solides marins et des négociants avisés avec les pays méditerranéens, contrairement au reste de la Corse qui vivait en autarcie. Mais, pour se protéger, les Cap-Corsins on élevés 32 tours de guet rondes sur le littoral dont beaucoup subsistent. Les tours carrées étaient édifiées par les notables pour montrer leur pouvoir mais aussi pour servir de refuge aux populations contre les incursions barbaresques qui faisaient de cette étroite bande de terre leur cible de choix.
De la plage de Macinaggio nous partons à la découverte du mythique sentier des douaniers. Nous passons la Punta di e Coscia où déjà nous sommes subjugués devant tant de beauté : des fleurs à n’en plus compter, la mer, la montagne, les montées les descentes, les roches ocres, noires ou blanches, bleues ou même vertes ! A chaque pas un régal !
On arrive ainsi à la baie de Tamarone où l’on peut déjà apercevoir les îles de Pianosa, Elbe et Capramia qui s’imposeront sur l’horizon comme des îles mystérieuses et fugitives…  tandis  que les îles de Finocchiarola toutes proches auront l’impression de nous tendre les bras.
On fait un petit aller/retour pour admirer Santa Maria, une petite chapelle perdue dans la garrigue et qui marque le point de non retour : ici on peut revenir à Macinaggio ou on est obligé de continuer jusqu’à Barcaggio.
Un peu plus loin la tour Santa Maria pousse notre questionnement : pourquoi est-elle dans la mer ? Elle n’a pas été construite dans la mer, c’est la montée des eaux qui fait que maintenant elle a les pieds dans l’eau ! A moitié détruite elle est impressionnante.
On poursuit un peu car il n’est pas l’heure tout à fait de faire notre pause repas… Mais on marche en essayant de s’imprégner de ces calanques extraordinaires !
C’est sur la Cala Francese que nous trouvons des troncs d’arbres qui nous serviront de bancs… La plage est calme, le soleil se lève et l’eau retrouve des couleurs des plages tropicales… le soleil change tout,  les conversations aussi changent : de paysages qui ressemblent à la Bretagne ou à l’Irlande voici qu’en un instant elles ressemblent à des îles tropicales !
Derrière nous un étang reçoit la visite de nombreux oiseaux qui s’envolent dès que nous approchons !
Voici que nous avons de la visite : quelques rares randonneurs mais surtout… des vaches ! Elles passent, tranquilles, suivant leur chemin : changent-elles de prairie ? Avez-vous vu les petits veaux !
A la reprise encore des paysages différents : la roche est très découpée et les couleurs sont différentes à chaque pas.
Ici pas de route, nous somme complètement dans le maquis, le pays des fauvettes et des lézards endémiques.
Une longue montée  surplombe la baie de Capendola soumise à tous les vents, le ciel et la mer balayés et remués sans cesse ont les couleurs vives de la pureté. Les Finocchiarola s’éloignent derrière nous et la Giragila nous offrira bientôt un repère rassurant.
Nous arrivons au bout du bout : à la Pointe d’Agnello.
La descente vers la tour est raide mais nous irons quand même nous montrer à sa fenêtre avant de partir encore à la rencontre de paysages très découpés et arriver sur les dunes de Barcaggio protégées par la Giraglia, petit îlot abandonné des pêcheurs de corail mais bien joli avec son phare et sa tour génoise…
Le paisible et adorable petit port de pêcheurs de la commune d’Ersa, situé tout au fond d’une baie, marque la fin de notre balade. Denis et Christine sont à nous attendre avec un minibus confortable et… une Golf GTI !?
Le retour à Macinaggio  s’effectue en passant par Rogliano village perché et décoré de ses grandes églises, couvents et confréries qui rivalisent pour offrir un village très pittoresque.
La soirée se poursuit dans le restaurant aussi délicieux que la veille dans de grandes discussions pour revoir ensemble tous les beaux paysages de la journée… et quelle journée !
Voir ici les photos du 3ème jour : Randonnée Macinaggio-Barcaggio

Ce matin on déménage. Journée tranquille, sauf, il faut quand même le dire, pour les chauffeurs. Les routes en Corse sont étroites, bien sinueuses et elles demandent une attention toute particulière.
Au revoir Macinaggio !
On reprend la route vers Rogliano et bientôt on bifurque plus au sud et on retrouve la mer de l’autre côté. On domine un paysage de vallées et de collines plongeant vers la mer la route sinue à travers le  maquis et les oliviers sauvages, on découvre  les eaux turquoise de la côte et l’immensité de la mer moutonnée.
On fait un arrêt au Belvédère du moulin Mattei qui émerge du maquis. Restauré au lendemain de la première guerre mondiale par Mattei, fabricant de spiritueux corses, cet ancien moulin à vent devient un prototype de l’enseigne moderne. Le panorama est très étendu notamment sur la côte rocheuse de l’Ouest enneigée.
Après Cannelle nous suivons les pins et les aloès vers les monts qui dévalent jusqu’à la baie de Centuri.
La route est longue et elle dévoile le golfe de St-Florent, le Nebbio qui ferme l’horizon et en arrière les sommets enneigés du Monte Cinto et du Monte Padro.
On arrive dans cette jolie marina décorée de son îlot de Capense fortifié depuis le 13e siècle. Le mouillage des bateaux de pêche y est important mais dangereux en cas de vent fort de Sud-ouest : le Libecciu.
On y fait quelques pas et on repère vite les 4 hôtels et les 8 restaurants qui n’auront pratiquement que nous comme clients : la saison n’a pas commencée et nous avons l’impression d’être les seuls un peu partout. C’est peut-être pour cela que nous sommes accueillis avec beaucoup de chaleur et qu’on nous offre cafés et myrtes !
On fait quelques pas pour aller voir la tour génoise et on apprend que ce port était un port de commerce disposant à la fin du 18e siècle de 16 hameaux et 68 magasins. Au milieu du 18e siècle Pascal Paoli en avait fait le port militaire de la nation Corse indépendante avant que la France  rachète la Corse et permet ainsi le développement d’activités agricoles. La vigne, la culture du cédrat se développe. Aujourd’hui il serait le 2ème port langoustier d’Europe ?!
211 habitants dans tous les hameaux et plus de 1000 l’été. Centuri est en effet l’un de points les plus touristiques du Cap Corse.
Au restaurant on mange la langouste bien sûr.
On poursuit vers Canari où l’on s’arrête au bord de la route dans une guinguette qui surplombe la mer. On rencontre un Berger qui nous raconte que l’usine que l’on voit en contrebas a traité jusqu’aux années 1960 un gisement d’amiante. Aux questions qu’on lui pose, il répond tranquillement qu’avec ses chèvres il a traversé et retraversé les nuages de poussières qu’engendraient cette exploitation sans aucune appréhension et que s’il y avait des risques pour les ouvriers, ils touchaient surtout les fumeurs !…
Mesdames et Messieurs, SVP attention à vos pieds et… bouchez vous le nez !
On poursuit vers Albo et Nonza, mais il se fait tard on décide de ne pas s’arrêter. Dommage car Nonza coiffé d’une tour de défense est perché sur une falaise en avancée vers la mer intensément bleue. C’est une ancienne place forte médiévale relevée par Pascal Paoli et le café  de la Tour, à l’ombre d’un vieux platane, sur une craquante petite place fleurie autour d’une fontaine nous aurait permis de prendre l’ambiance de ce village bien particulier.
Après, enfin, une pointe à 55 km/heure, on arrive à Saint-Florent où l’on trouve très vite notre Hôtel.
Nous y sommes accueillis par une célébrité nationale (entendez par « nation » la Corse), les chambres sont très agréables et il ne nous reste plus qu’à dégourdir nos jambes avant de passer une bonne nuit.
Voir ici les photos du 4ème jour : Macinaggio-Saint-Florent via Centuri

Ce matin nous avons rendez-vous avec Stéphane qui nous retrouve à l’Hôtel.
Avec lui nous traversons le port, rejoignons la plage de la Roya et encore une fois rejoignons le sentier des douaniers.
Nous entrons au cœur du désert des Agriates. Par désert il faut entendre « Desert de population ».
Agriate tout d’abord est une traduction française du corse « l’Agriate » qui vient du mot « agraire ». Sur le plan historique, le territoire de « l’Agriade », comme nous devrions le prononcer puisque nous ne sommes plus des touristes,  a connu une succession d’occupations, du Néolithique à nos jours, par des éleveurs cultivateurs, issus des villages et des microrégions limitrophes qui se partageaient les terres. Cette région sauvage et superbe où se mêlent de longues crêtes rocheuses et des valons tapissés de maquis, offre également des plages exceptionnelles aux eaux limpides. Ces terres ont été aux siècles passés largement cultivées, au point d’être surnommées « le grenier à blé » par les voisins du Cap-Corse qui s’y rendaient en barque. Elles étaient également chaque année le théâtre des transhumances de la micro-région et même de plus loin. Aujourd’hui et depuis 1979, ce territoire naturel protégé qui s’étend sur 15 000 ha, jouit d’une notoriété internationale, qui fait de lui un site phare de la Corse.
Stéphane nous raconte tout cela ainsi que l’histoire de sa région.
On arrive ainsi au phare de Fornali et on fait notre pause avant midi dans l’anse de Fornali.
Là on peut voir que des 4×4 peuvent s’avancer sur une piste pour rejoindre des sentier dans l’Agriade.
Nous partageons notre repas et Stéphane nous offre le café, des canistrellis faits par la maman d’Angelina et une myrte maison !
On monte ensuite à une tour qui surplombe la baie de St Florent et on s’en retourne à la place de la Roya par une large piste bien ensoleillée avec de nombreux arrêts car Stéphane est bavard et veut nous apprendre beaucoup de chose sur son pays, sur la Corse et sur Saint-Florent.
C’est un groupe enchanté de sa journée qui passera une bonne soirée.
Voir ici les photos du 5ème jour : Saint-Florent – Randonnée avec Stéphane

Ce matin on a la surprise d’apprendre que l’on va prendre un bateau. Et quel bateau !
On file à 100 à l’heure vers la plage de Loto (prononcer Lod). Débarquement chaotique mais on s’en sort  haut la main : les passages délicats en rando ça nous connaît !
On fait un petit tour sur la plage de sable blanc, une des plus belles plages du Monde nous a dit hier Stéphane. Mais il faut vous dire que, peut-être, le Monde s’arrête à la Corse pour les corsins… à voir !
C’est vrai que la plage est belle !
Comme notre cheminement jusqu’à la plage de Saleccia, car il faut vous dire qu’ils ont aussi  la 2ème plus belle plage du Monde !  Le sentier est un régal, tantôt les pieds dans l’eau, tantôt sur des rochers, tantôt en belvédère sur la mer. C’est beau, c’est beau et à chaque pas on est distrait par une curiosité.
La plage de Saleccia est plus grande que la plage de Loto mais le sable y est aussi blanc. Quelques bateaux y ont accosté, des promeneurs s’installent pour la bronzette, d’autres se baignent. Nous on fera tout de même une petite sieste !
On  reprend en s’enfonçant dans les terres à travers une végétation arbustive où l’on atteindra un ensemble de bergeries ruinées. Un peu de courage pour la montée, il fait quand même très chaud, et l’on arrive à Costa Pana qui nous offre un panorama époustouflant sur les deux plages  et les environs. On a même droit à des monts enneigés !
La suite est tout aussi extraordinaire, le sentier surplombe la plage de Loto et on comprend pourquoi elle est dénommée plus belle plage du Monde avec celle de Saleccia !
Arrivés à destination on ne manque pas la curiosité locale : les vaches qui bronzent sur la plage !
Le bateau arrive quelques minutes plus tard et nous ramène tout aussi rapidement dans le golfe de St-Laurent avant de nous abandonner sur le port.
Voir ici les photos du 6ème jour : Saint Florent – Randonnée les plages des Agriates (bateau)

C’est notre dernière soirée à St-Florent ! On mange (on se régale) on boit (raisonnablement) et on chante… On chante le plaisir de ces belles journées, des paysages fantastiques, des fleurs comme on en a jamais vues… On chante le bonheur d’être ensemble, heureux. Oui on retrouve bien l’âme de La Culturothèque, l’âme qui est si particulière et qui nous est si chère !
Merci Christine, Merci Sylvie !
Voir ici les photos d’une soirée à St Florent.

A regret on a fait nos valises… le temps passe vraiment trop vite !
On fait un tour sur les premières pentes du Nebbio.
Patrimonio dissémine ses maisons et sa grande église sur les versants d’une colline prospère plantée de vergers et de vignes. Tout le monde connaît ce vin qui se classe parmi les meilleurs crus élevés en Corse.

On pousse jusqu’à l’église St Martin qui prend au soleil une chaude tonalité blond doré. Elle est un peu isolée et domine le village lui donnant un côté monumental avec son haut clocher.
Bien sûr on s’est posé pas mal de questions et les commentaires sont allés bon train à côté du Nativu, cette stature-menhir trouvée  à Barbaggio qui aurait été élevée au premier millénaire avant J.-C. par les Mégalithiques.
Avant de rejoindre Bastia on fera quelques arrêts où des panoramas sur la baie de St Florent d’un côté et la baie de Bastia de l’autre peuvent s’admirer d’un même lieu !
Chacun visite Bastia à son rythme… on mange encore quelques spécialités locales et… encore on nous offre le café (ou pas !). On flâne, on mange une glace aussi, peut-être à la myrte ou à la châtaigne ou au Cédrat ou la mandarine… Ici tout est tellement bon !
Sur le bateau on regarde le rivage en rêvant à nos belles balades… On a tous envie d’une chose : faire demi-tour !
Oui, vraiment le temps a passé trop vite et nous n’avons qu’une envie : revenir au plus tôt en Corse.

Nous avons vraiment aimé découvrir le Cap Corse, si sauvage, si fleuri, si ensoleillé, si bleu, si parfumé… A très bientôt la Corse, on vous aime !
Voir ici les photos du 7ème jour : Saint-Florant-Bastia via Patrimonio

Pas de photos du 8ème jour… on est trop tristes de partir !

La chanson de Christine :
Tchi Tchi
Nous sommes 13 Apôtres qui randonnent
Sur ces beaux sentiers Corses qui nous donnent
Tant de plaisirs et de Bonheur
Golf GTI toujours à l’heure
Mais quel est donc la clef de ce succès.
Oh ma belle Michelina, Tchi Tchi
Tes pèlerins qui t’appellent, Tchi Tchi
Pour rester sur le bon chemin, Ah Ah
Et voir sur l’onde les dauphins, Ah Ah,
Sans oublier ces belles vaches, Tchi Tchi
Qui voudraient jouer à cache-cache,  Tchi Tchi
Quel beau séjour, viva corsica, Ah Ah,
Oh ma belle Michelinetta.